Le problème réside à mon sens dans l'incapacité de l'administration à planifier et à se projeter dans l'avenir.On gère au jour le jour et tant pis.Le vis à vis se fera à l'idée et sera eu à l'usure.
Je veux attirer l'attention sur le nombre de pharmaciens qui continuent à exercer tout en en percevant une retraite et pas des moindres.Ce nombre est connu et palpable au niveau des DSP et CASNOS en fait il n ' y a que chez nous que cela existe des PHARMACIENS croulant sous 90 balais et s'attelant à mort.
Le nombre etant connu,on peut planifier sur 10 ans et il n y aura pas de pharmaciens de BOUIRA qui serait obligé d'exercer à TEBESSA (car inscrit sur les listes d'attente qui, du reste, faussent les statistiques).
A CONSTANTINE,il y aurait une vingtaine qui devraient quitter le bateau pour une belle retraite,je crois!,à ALGER une cinquantaine,ce sont ces respectables collègues qui doivent se retrouver au conseil des sages et de l'ordre.
Les comptes seront fait et les prévisions aussi ,pour agir sur la quantité et surtout la qualité en formation.
Il faudra éviter de gérer avec la logique des quotas ,je pense.
Ah si on pouvait acheter des années de cotisations et partir à la retraite,beaucoup d'entre nous se réjouiraient de céder la place avec plaisir.LA PHARMACIE EN ALGERIE EST UN CALVAIRE.