Et voilà ce que le pauvre pharmacien a failli payer de sa propre poche,700 milliards et rien que ça!!!!, heureusement ,pour nous, que l'état prendra en charge le montant mais est ce pour autant le problème est résolu ? il est évident que non!!!! car ,il y aura toujours des périmés et meme de plus en plus de périmés tant que la problématique n'est pas cernée à la source.En effet, jusqu'a l'année 1992, date d'ouverture d'ouverture du marché algérien du médicament aux lobos privés et notamment à l'importation,la cahier de charges dans son article 11 précise bien que les périmés sont à la charge du founisseur étranger et c'est pas trop demander car avoir accés à un gros marché telle que le notre ne doit pas se faire sans prise de risques de la part des opérateurs économiques étrangers.Les produits péremptibles ( à 6 mois) sont signalés aux fournisseurs qui doivent les prendre en charge ,ainsi ,ces quantités sont remplacées par des produits frais si non à la péremption ,les médicaments sont repris et détruit par le fournisseur.Il faut savoir que la destruction est trés couteuse tant sur le plan financier que sur le plan environnemental et aussi se demander pourquoi les périmés sont de plus en plus importants,pour cela,il faut savoir que depuis l'ouverture du marché algérien, l'anarchie s'est installée ainsi que la non gestion, le pouvoir de négociation ( pourtant stratégique) a été ignoré par les opérateurs algériens et surtout par l'état algérien.c'est une brèche et meme une faille qui a ouvert la porte à toutes les dérives.la vente concomitante a pris place permettant l'inondation du marché algérien en dessus de ses besoins en produits en surstock ailleurs, les périmés sont devenus de plus en plus effrayants et à la charge de l'algérie. l'algérie est devenue un dépotoir et sans moindre coùt pour les opérateurs en pharmacie, pire, les pharmaciens d'officine ont failli etre le dindon de la farce en acceptant de payer l'incinération des périmés.j'ai tant dénoncé cet état de fait mais aucune oreille attentive ne m'a écouté.il faut pas se réjouir de cette décision des pouvoirs publics car c'est pas une solution radicale et c'est unefausse solution au dépend de l'algérie.Je crois qu'il est grand temps d'apprendre à se concerter pour faire un diagnostic vrai de la situation de la pharmacie en algérie et d'apporter de vrais solutions