Les microbes de nos intestins, et la partie de notre système immunitaire qui les régule, pourraient être en partie responsables du syndrome métabolique, un ensemble de troubles métaboliques liés à l'obésité qui augmentent les risques de diabète et de maladies cardiovasculaires
selon une nouvelle étude effectuée chez la souris. Ce travail s'inspire de récentes découvertes qui ont établi un lien entre la composition de la flore intestinale et l'obésité. L'étude de Matam Vijay-Kumar et ses collègues, suggère que le système immunitaire inné qui défend l'organisme contre les microbes pathogènes, pourrait être le lien entre le microbiote intestinal et le métabolisme.