Je vous le disais dans la rubrique des 150 medic en rupture,pour les sociétés étrangères un flacon qui coûte 1 euro coûtera 1 euro quelle que soit sa destination,les contrôles en europe sont rigoureux surtout fiscaux et douaniers,je pense toujours aux surfacturations "BIEN DE CHEZ NOUS",car comment comprenez-vous que le prix d'un produit puisse descendre de 50 à 60 pour cent en un temps trois mouvements?
L'état algérien (IL FAUT LE RECONNAITRE) a détaxé le médicament de la TVA qui est une perte sèche pour le trésor publc,a fait de gros efforts pour l'accés aux médicaments des couches les plus défavorisées,il a fait son devoir.
Reste les opérateurs de la pharmacie:
1)Le PHARMACIEN n'a aucun regard sur les commandes,l'import,la fabrication.LE PHARMACIEN COMME LE MALADE?COMME LA SECURITE SOCIALE SUBISSENT LES PRIX.
2)LE FABRIQUANT FAIT LES PRIX sans aucun contrôle ni en amont ni en aval.
3)L'importateur peut faire augmenter les prix (ce que nous voyons) et les diminue à sa guise(ce que nous voyons) de 50 pour cent ,de 70 pour cent s'il le veut ou s'il y est obligé.
Voyez-vous le montant de la facture du médicament n'a pas changé autant qu'on le pense elle doit tourner autour 900 millions de dinars,et avec de la fermeté et du courage on y arrivera!
CONCLUSION PERSONELLE:
Je demeure persuadé que les prix éxorbitants de produits princeps de ces derniers mois sont le fruit de grandes manoeuvres de malversations et de transferts hemoragiques des capiteaux nationaux vers l'étranger,des saignées répétitives et abusives des cotisations à la sécu.
L'état dispose sûrement de mecanismes de contrôles,si le courage politique et la bonne foi s'associent tout ira bien à l'avenir.
L'IGF et ses copines...