LE POINT VERT DE LA PHARMACIE ET DE LA VIE
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 le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2

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attout62
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MessageSujet: le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2   le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2 Icon_minitimeMer 1 Juil - 14:29

Les Elphyades

Le lait et les produits laitiers




Voici une controverse aussi importante que celle de la viande.
Pendant longtemps, le corps médical nous exhortait à boire du lait. Le mythe du calcium et des vitamines ! L'épouvantail de l'ostéoporose était agité devant les consommateurs apeurés.
Les médias enfonçaient le clou toujours plus loin, avec les vastes campagnes publicitaires françaises des "produits laitiers"... nos, soit-disant, amis pour la vie ? Ou au Canada de nos jours : "un verre de lait par jour, c'est bien, deux verres c'est mieux !"
Le but de tout cela ? Ce n'est certes pas la santé. La seule chose qui intéresse les industriels, c'est l'argent... qu'ils gagnent sur notre santé, ou plutôt sur le dos de nos maladies qu'ils induisent avec leurs conseils empoisonnés.
La firme "les produits laitiers", fait partie d'un vaste consortium industriel qui abrite aussi dans son sein les instituts Pasteur, Mérieux, Yves Rocher...... Tous unis dans un même combat. Pour l'amour du fric, au mépris des gens !



REVENONS AU LAIT...

L'homme est le seul mammifère qui avale le lait d'un autre. Pourtant si nous sommes différents, comment pouvons-nous penser que les besoins nutritionnels des nouveau-nés d'espèces différentes soient interchangeables ?
De plus, l'homme est le seul mammifère à boire du lait en étant adulte. A croire, que seul son corps est adulte, son esprit restant infantile...



A quoi sert le lait maternel ?

Il joue le rôle de continuité du milieu intra-utérin. Il véhicule des nutriments et des informations. Par lui, le bébé sait comment il doit grandir, se développer, se protéger...
La mortalité des enfants nourris au sein est 3 fois inférieure à celle des enfants élevés au lait de vache. Leur intelligence à long terme serait supérieure, les infections (peau et O.R.L. en tête) seraient en nombre inférieure.
Le développement psychoaffectif serait plus harmonieux et les rapports avec sa mère plus étroits, chez un enfant qui a connu son sein. Il semblerait que ce résultat soit proportionnel également à la durée de l'allaitement.



Le lait de femme contient (entre autre) :

70 % de protéines solubles dont 30 % de caséine (contre 25 % de protéines dont 75 % de caséine pour le lait de vache).
70 g/l de glucides (contre 49 g/l pour la vache).
45 g/l de lipides, dont 55 % Acide Gras Poly-insaturés (AGPI) et 45 % Acides Gras Saturés (AGS) (contre 38 g/l pour la vache, dont 70 % AGS et 30 % AGPI)
De plus le lait de femme est plus riche en vitamines A, E, C, PP....

Le lait de femme contient aussi : 340 mg/l de Calcium, 141 mg/l de Phosphore, plus du Zinc, Fer, Cuivre, Iode, Sélénium, Cobalt.....
Alors que le lait de vache contient : 1200 mg/l de Calcium, 920 mg/l de Phosphore, et est très carencé en Fer, Cuivre...



LES MÉFAITS DU LAIT DE VACHE

A propos des informations véhiculées :
Le lait de vache contient des informations pour le veau. Pas pour le bébé humain.
Ce genre d'informations vise à faire en sorte que le veau, en quelques mois, atteigne une taille et un poids défiant toute concurrence humaine. Pendant que le veau grossit de 500 kg, l'enfant ne doit prendre que 10 kg.
Ces informations disproportionnées passent par l'hypophyse, et à coups de fausses données, la dérèglent petit à petit. L'hypophyse est un des chefs d'orchestre de toutes sécrétions hormonales de l'organisme (thyroïdiennes, surrénaliennes, sexuelles...). C'est donc toute notre physiologie qui va être perturbée.
Il peut y avoir également des phénomènes de croissance localisée (fibrome, mastose, tumeurs, excroissances, acromégalie, dystrophie osseuse...).



Le mythe du Calcium

Nous avons vu que le lait de vache était plus riche en calcium que celui de la femme. Oui mais...
Il n'est pas disponible pour le corps humain, du fait d'une protéine, la caséine, qui englue le calcium et le rend pratiquement inassimilable au niveau de l'intestin. De plus, les sels de calcium sont rendus presque insolubles par les sécrétions biliaires.


Pour le peu de calcium qui arriverait quand même à passer :
Le rapport Calcium / Phosphore du lait de vache entraîne une acidité trop importante, obligeant l'organisme à pomper dans ses réserves les minéraux nécessaires pour rétablir l'équilibre. Or, la principale réserve est l'os. Donc, non seulement le calcium de la vache ne rentre pas dans la fabrication de notre trame osseuse, mais elle oblige cette dernière à s'appauvrir pour pallier l'acidité du lait de vache... et peut se redéposer n'importe où (ex : athérosclérose, calcinose rénale des buveurs de lait...).

PLUS ON BOIT DU LAIT DE VACHE, PLUS ON ACCENTUE UNE TENDANCE A L'OSTEOPOROSE.
Et non l'inverse, n'en déplaise au corps médical !

De plus, le couple Calcium / Phosphore de la vache, rend le magnésium inopérant au niveau de nos nerfs et muscles. D'où une tendance aussi à l'anxiété, la spasmophilie...



Les graisses du lait de vache :


Comme nous l'avons vu, elles sont beaucoup trop saturées. Elles entraînent un encrassement de l'organisme, par saturation des émonctoires et des récepteurs cellulaires. De même avec...



Les protéines anormales du lait de vache :

Il s'agit essentiellement de molécules géantes.
Ces dernières sont gérées par le veau du fait d'une enzyme spéciale, la chymosine, inconnue à l'homme qui ne sécrète que de la présure (rénine) jusqu'à l'âge de trois ans. L'homme va donc fatiguer son foie, ses reins, pour les évacuer. Si le système des émonctoires n'est plus efficace, ces molécules de lait vont se fixer sur les cellules, se stocker dans l'organisme (surtout au niveau des pieds... qui vont "sentir le fromage"). De plus elles vont potentialiser les autres déchets au niveau de ces mêmes émonctoires.
En se fixant sur les récepteurs cellulaires, les molécules de lait vont entrer en compétition avec les autres substances qui, elles, ne pourront plus se fixer et faire leur travail. Les cellules hôtes, vont devenir peu à peu anormales sous la stimulation lactée. Notre système immunitaire va les considérer comme ne faisant plus partie du paysage normal de l'organisme... et va les attaquer.
Par le lait, nos propres cellules vont se faire attaquer par nos propres moyens de défense. C'est l'origine des maladies auto-immunes. Le lait est presque toujours l'élément déclencheur qui va mettre en action les codages génétiques de nos maladies.

C'est pourquoi personne ne peut guérir d'une maladie auto-immune (ou génétique)
en continuant à absorber la moindre molécule de lait.

Par ailleurs, il faut savoir qu'il existe un certain nombre d'aliments dits "déséquestrateurs" de ces molécules de lait. Il s'agit des : huîtres, la plupart des fruits de mer, les dattes, cerises, figues... (à consommer sous forme de fruits et crus).
Une molécule d'huître va permettre au corps d'éliminer une molécule de lait.
Si on n'aime pas les huîtres, cela veut simplement dire que notre organisme est saturé de molécules de lait (et si on ne boit pas de lait de vache, pensez au lait qui se cache : fromages, yaourts, pâtisseries, gâteaux, glaces, quiches, pizzas.......). Nous avons toujours en horreur ce qui pourrait nous faire du bien, du fait de la petite "douleur" d'épuration, les symptômes de libération de l'organisme...
Dans ce cas, il serait bien de ne prendre qu'une demi-huître. Cela va permettre l'évacuation d'une demi-molécule de lait. Puis une seule huître pendant quelques temps... Et nous verrons qu'arrivera vite le temps où nous aimerons les huîtres.



Le lactose

Le lait de femme contient deux fois plus de (gyno)lactose que le lait de vache. Ce sucre est déterminant pour l'assimilation des nutriments du lait, pour la constitution de la flore intestinale.
Le lactose du lait de vache n'est pas adapté à remplacer le gynolactose. Il y a donc carence. Pire ! Ce lactose inadapté va interférer avec notre flore intestinale, la désorganisant, l'inactivant. Cela entraîne une prolifération de microbes pathogènes... associée à une insuffisance énergétique du foie, du fait des grosses molécules anormales. C'est la porte ouverte à tous les problèmes infectieux (rhinites, sinusites, salpingites, bronchites... Tout ce qui est en "ite"). Et si l'agression continue, la porte s'ouvre sur tout ce qui est en "ose" (c'est-à-dire toutes les pathologies dégénératives de l'organisme).


Au niveau hormonal :

Les graisses du lait de vache renferment les œstrogènes de la vache. Au niveau de notre organisme, cela entraîne des hyper-œstrogènes responsables d'altérations de notre système endocrinien, notre physiologie (allant des problèmes de fertilité aux cancers hormono-dépendants...).
Par ailleurs, pour digérer le lait, quand on est enfant, il nous faut sécréter plus d'hormones thymiques que normalement. Cela entraîne une fatigue excessive du thymus. A trois ans, il ne fonctionne plus trop bien et va s'atrophier rapidement. C'est pour cela que très peu d'adultes peuvent encore se vanter d'avoir un thymus. Cela explique aussi pourquoi la médecine nous apprend qu'à partir d'un certain âge, le thymus ne sert plus à rien, donc disparaît. Oui mais cela, à cause de leur méconnaissance du problème !



Le lait UHT (Chauffage du lait à 150º pendant quelques secondes).

Ce procédé de conservation nous débarrasse de toutes les enzymes, vitamines, acides aminés (lysine, triptophane)... De plus la stérilisation microbienne est aléatoire. Nous verrons le pourquoi, dans le dossier suivant.



Le reste...

Nous pourrions parler ici, des produits chimiques que la vache absorbe (mais il existe du lait soit-disant"biologique"), de la Dioxine, ou des nitrates, que l'on retrouve dans les analyses de son lait, de la vache folle, de celles transgéniques car nourries par les aliments transgéniques (souvent hors de la conscience de l'éleveur) et fabriquant un lait transgénique...
Il faut savoir également que le lait de vaches tuberculeuses (non en phase terminale) est permis d'utilisation, après chauffage, pour les produits dérivés du lait.
Celui des vaches atteintes de brucellose, est permis pour les mêmes produits, après ébullition.

En fait cela ne nous protège pas vraiment, les microbes sous formes de cadavres, pouvant se réactiver par résonance dans le corps.



La sagesse de bébé

A croire que plus nous grandissons, plus nous devenons bêtes. Le bébé n'a pas encore eu vent de cette vérité. Il est spontané, instinctif. Quand il est sevré du lait de sa mère, il refuse très souvent le substitut de vache. Mais comme on ne lui donne que cela à manger, il crie son désarroi d'une autre manière.
C'est le corps qui va parler. Les molécules de lait vont très vite saturer ses petits émonctoires,... et la peau va prendre le relais des vomissements. Eczéma, psoriasis, croûtes de lait (bizarre comme appellation, non ?),.... Puis après les muqueuses prennent le relais (O.R.L., asthme...). Il est surprenant de remarquer que tout rentre naturellement dans l'ordre après l'arrêt total du lait et des produits laitiers.

COMMENT REMPLACER LE LAIT DE VACHE ?

Par rien si possible, sinon préférez les laits végétaux :
Lait de soja (préférez le biologique), lait d'amande, de céréales (riz, sésame, orge...)... etc.
Il existe aussi maintenant des laits maternisés 1º et 2º âges sans lait de vache (Prosobee, Babybio... – en France).

Voir aussi :
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attout62
Invité




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MessageSujet: Re: le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2   le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2 Icon_minitimeMer 1 Juil - 15:33

Le lait de vache...
...un aliment non spécifique à l'Homme


La glorieuse réputation du lait de vache comme boisson fortifiante et reminéralisante par son calcium est-elle justifiée ? De nombreuses recherches ont d'abord conduit médecins, hygiénistes et chercheurs à soupçonner sa nocivité pour, aujourd'hui, l'affirmer et considérer le lait de vache comme un aliment non spécifique à l'homme. Cette idée heurte nos croyances. Pourtant, Anne Laroche-Walter, naturopathe, ne manque pas d'arguments.



Comment et pourquoi le lait de vache est-il nocif pour la santé de l'être humain ?
Et jusqu'où cette nocivité peut-elle conduire ?
Existe-t-il des solutions de substitution ?

Comme les alcools, le tabac, le sucre blanc, les graisses cuites, le lait de vache est un produit nocif. Nous consommons et abusons de tous ces produits, ne voyant pas au-delà de la satisfaction immédiate de nos besoins. Ne pouvant nous dégager de nos habitudes alimentaires, il nous est difficile de repenser notre assiette. Nous avons perdu cet instinct profond, garant de notre équilibre et de notre intérêt vital.

Ainsi, nous nous sommes habitués progressivement à une alimentation carencée et non spécifique.

Après avoir accumulé de nombreuses informations scientifiques relevant du domaine de la santé et de la nutrition, et au travers de ma pratique d'hygiéniste nutritionniste, j'ai constaté les changements très bénéfiques survenus chez mes consultants, suite à l’abandon total de la consommation des produits laitiers. Ces résultats sont, pour moi, des preuves irréfutables.

Cet article, bien évidemment, ne concerne pas les rares tribus d’Afrique ou d'Amérique (Hunzas, Equatoriens, Caucasiens) qui subsistent encore dans le monde et vivent d'une manière naturelle. Contrairement à nous, ils ne consomment que très peu de laitages, se nourrissent légèrement avec des aliments sains, sans adjonction de produits chimiques ni additifs. Ils respirent un air pur, boivent une eau non polluée, et enfin ont une activité physique quotidienne, loin du stress et de l'activisme. Ils entretiennent donc une vitalité et une endurance les rendant souvent centenaires.

Cet article s'adresse plutôt à nous, victimes d'une surabondance et surconsommation alimentaire, propre à notre société sédentaire.

Le lait maternel

Avant de parler du lait de vache, il est souhaitable de parler d'abord du lait maternel. L'allaitement maternel est la continuation de la fonction du placenta. Le placenta a un rôle nutritif et surtout un rôle de mise en place d'information qui participe à l'embryogenèse.Après la naissance, le lait maternel perpétue cette information en donnant au bébé des messages pour sa croissance. Il a donc un rôle d'embryogenèse postnatal, et cette structuration, cette mise en place, demande trois ans d'allaitement pour l’idéal, six mois au minimum. Le sevrage se fera doucement à partir du sixième mois, en introduisant progressivement légumes, fruits, céréales, un peu d’oléagineux et de protéines.Le lait maternel est un régulateur hormonal pour le bébé car il lui est adapté, et il joue aussi un rôle immunitaire et anti-parasitaire. Par exemple, grâce à une enzyme spécifique à l'espèce humaine dont il est porteur, il est capable de détruire des parasites intestinaux tels que Cardia lamblia ainsi que l'amibe Entacmoba histolytica.Son coslostrum des premiers jours est purgatif, favorise l’élimination du méconium et diminue ainsi grandement les risques de jaunisse, il protégera donc le bébé contre les infections.Le lait maternel correspond exactement à la constitution biologique du bébé. Il a de multiples fonctions :
stimulation de l'immunité,
apport énergétique et nutritif,
équilibrage du système nerveux par ses acides gras insaturés,
véhicule de l'information de croissance adaptée par le message contenu dans ses protéines.
J’ajouterai enfin une fonction qui n'est pas la moindre : celle du lien d'amour et de la plénitude de la vie.
Pourquoi dire non au lait de vache ?

Pourquoi le lait de vache est-il nocif pour la santé de l’être humain ? En voici les principales réponses.



1 - Code génétique inadapté

Les hormones contenues dans le lait de vache sont des véhicules d’informations et vont transmettre à l’hypophyse du veau des informations adaptées à cette espèce animale particulière.
Imaginez une information de croissance spécifique au veau, par exemple peser 500 kg à six mois, reçu dans l’hypophyse d’un nourrisson qui, lui, dans le même temps, ne doit peser que 7 à 8 kg ?
Que va-t-il se passer ?
Tout simplement, cette information non spécifique, qui ne correspond en rien à la croissance normale de l’être humain, va perturber le mécanisme sensible du système hormonal réglé par l’hypophyse et, de ce fait, déclencher toute une série de conséquences fâcheuses pour le bon fonctionnement physiologique de l’individu.
Quand bien même, malgré cela, l’organisme humain serait capable de s’adapter à cette désinformation, il le ferait au détriment d’autres fonctions s’étalant sur la vie entière de l’individu et même sur des générations.
C’est pourquoi le danger ne porte ni sur la quantité de produits laitiers absorbés (bien que cela puisse provoquer des encrassements du métabolisme, et nous en reparlerons plus loin), ni même sur la quantité biologique : le lait de vache issu de l’agrobiologique contient absolument les mêmes informations néfastes et non adaptées à l’espèce humaine. Une seule goutte de lait, même cachée dans un gâteau, suffisait à dérégler le processus du métabolisme.
En conséquence, on constate, dans la plupart des cas, des réactions négatives du bébé lors du sevrage passant du lait maternel au lait de vache, ou aux laits dits maternisés qui restent malgré tout spécifiques à l’espèce animale car composée avec du lait de vache.
Cette information ne se trouve pas dans la viande de bœuf car n’ayant pas les mêmes caractères d’information. Il est, à mon avis, plus dangereux pour la santé de l’homme de consommer des laitages que la viande de bonne qualité biologique. Contrairement aux idées répandues parmi les adeptes végétariens.

2 - Du calcium inaccessible
Nous trouvons dans le lait de vache, tout comme dans le lait maternel, du calcium. Celui-ci est dosé suivant les besoins du veau ou du bébé. Non seulement les besoins ne sont pas les mêmes, mais aussi grande que soit la proportion de calcium dans le lait de vache, celui-ci ne pourra en aucun cas être disponible à l’organisme humain. En effet, les protéines spécifiques contenues dans le lait animal et ayant pour fonction de transmettre l’information nécessaire à l'élaboration de l’osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ne seront pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc totalement inopérantes pour l’être humain.
C’est pourquoi le bébé, l’enfant, ou l’adulte, auront très peu d’osséine et par ce fait, retiendront mal les minéraux, entraînant une déminéralisation progressive.
En regroupant les constatations de plusieurs chercheurs, médecins et hygiénistes, il semblerait que l’organisme, d’une part se défait de ces sels minéraux circulant dans le système sanguin, par défaut d’osséine, et d’autre part accumule ces mêmes sels contenus en trop grande quantité dans le lait de vache, dans des endroits tissulaires et organiques du corps. Ceci entraînant indurations, kystes, calculs et becs de perroquet.

3 - Des graisses saturées

Dans le lait maternel, les graisses sont constituées essentiellement d’acides gras poly
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attout62
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MessageSujet: Re: le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2   le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2 Icon_minitimeMer 1 Juil - 15:35

3 - Des graisses saturées

Dans le lait maternel, les graisses sont constituées essentiellement d’acides gras poly-insaturés. Le lait de vache, lui, contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques que le foie de l’être humain a du mal à digérer et à saponifier. Le système biliaire se fatigue par une suractivité pour tenter de dissoudre un produit incompatible avec le système digestif. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s’y ajouter par l’alimentation. C’est pourquoi lors d’une maladie aiguë ou chronique (grippe, angine infection) il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin d’en venir à la guérison. De plus, les graisses qui ne sont pas éliminés seront absorbées au niveau de l’intestin grêle, passant ainsi dans le sang, ce qui est particulièrement nocif. Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux. Le cerveau de l’être humain ayant une croissance plus rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des graisses de bonne qualité, c’est-à-dire insaturées, de provenance maternelle ou bien végétale.Et pour une croissance harmonieuse du bébé, nous trouvons la lactoferrine dans les protéines du lactosérum maternel.
4. Pauvreté en lactose

Le lait maternel, biologiquement adapté à l’homme, en contient plus de 50 % que le lait de vache.
Ses propriétés sont non seulement énergétiques et déterminantes dans le processus de l’assimilation des minéraux et de la constitution de la flore intestinale, mais aussi elles participent grandement dans la protection contre les germes pathogènes.
Aucun lait d’origine animale ne protège l'homme contre les germes pathogènes et autres parasites. Bien au contraire, ils en favorisent tous la prolifération par modification du milieu digestif et intestinal qu’entraîne inévitablement leur absorption.
La fièvre de Malte et la brucellose en sont les conséquences dont les risques ont été minimisés avec la surveillance sanitaire et la vaccination. Mais la vaccination n'empêche pas le passage d'autres toxines présentes dans le lait de vache comme nous allons le voir plus loin.
Les protéines du lactosérum contenues dans le lait maternel contiennent des protéines anticorps (lysosymes, gammaglobulines. immunoglobulines) qui jouent un rôle de grande importance dans la lutte contre les infections, d'autant plus que le nourrisson n'a pas établi sa barrière immunitaire intestinale.
D'où, une fois de plus, l'importance de nourrir l'enfant au lait maternel et d'abandonner le lait de vache favorisant les parasites en tous genres.
5. Des molécules géantes

Les éléments constitutifs du lait de vache et du lait maternel sont différents, notamment par la grosseur des molécules et des protéines ainsi que par leur formule biochimique.
Le milieu digestif est également différent selon l'espèce : l'estomac du veau sécrétant de la caillette et celui du bébé de la présure (réinine) pour dégrader et coaguler leurs laits respectifs. Ainsi, on constate que la caillette du veau est cent fois plus puissante et active que la présure du nourrisson, et cela en rapport avec les molécules constituantes du lait de vache qui sont nettement plus grosses que celles du lait maternel.
C'est donc un effort considérable que nous demandons à notre foie pour dégrader une trop grosse molécule d'origine animale.
Diluer le lait de vache avec de l'eau pour le rendre soi-disant plus digeste ne changera rien à l'affaire car la formule biochimique restera la même.
Le bébé fabrique de la réinine jusqu'à l'âge de trois ans. Au-delà de cet âge, si nous le forçons à boire du lait de vache après son sevrage, son organisme se verra forcé de fabriquer de la présure (lactase) pour digérer un aliment qui ne lui est donc pas nécessaire, au détriment des autres fonctions organiques. J’ajouterai que la présence de la lactase dans l'intestin est responsable de gaz et de ballonnements (une flore intestinale de bonne qualité est de nos jours très rare, il est donc très important de ne pas la modifier ou de la remettre en bon état).
Les Africains possèdent très peu d'enzymes (réinine) pour digérer le lait de vache. Ils sont donc plus exposés que les Occidentaux à des dérèglements digestifs aux conséquences fâcheuses. Le lait de vache et ses sous-Produits ( fromage, yaourt; beurre) sont contre-indiqués dans les pays tropicaux.
6. Les facteurs toxiques

Dans les cahiers de la nutrition «Médecine officielle», il est noté que nos chercheurs ont découvert dans le lait de vache une molécule hautement toxique pour l’homme. Des recherches ont été effectuées afin de retirer cette molécule du lait, au lieu d’en retirer tout simplement la vente.
Avec tous ses divers procédés de pasteurisation, d'homogénéisation et de stérilisation UHT, le fait de vache perd ce qui, à la rigueur, pourrait nous aider à nous débarrasser assez vite de cette molécule toxique, c'est-à-dire ses enzymes.
Les enzymes sont des facteurs d'assimilation intervenant par catalyse. Sous la chaleur des divers procédés de longue conservation et de protection, le lait de vache se défait de ses enzymes qui sont tous très sensibles et dont la survie est nulle à haute température.
Choisir entre un lait cru et sa facilité d'assimilation et un lait cuit de longue conservation et sa facilité d'emploi, je dirai que cuit ou cru, il vaut mieux s'abstenir.
D’autant plus que dans la fabrication de certains fromages, et plus spécialement les fromages de hollande, l’ajout de tous les additifs conservateurs (polyphosphate, nitrate), sont très dangereux pour la santé de l’homme. Les phosphates ont une action inhibitrice sur la fixation du calcium, d’où le nombre croissant de personnes atteintes de spasmophilie, consommant du fromage ou des produits laitiers. Il faut donc se méfier de la fausse information concernant l’apport de calcium par les laitages.
Et pour terminer, les vaches subissent divers traitements (hormones, vaccins, antibiotiques). Elles sont elles-mêmes alimentées par des produits forcés et traités qui transmettent une forte teneur en toxines dans le lait, ajoutant à tous les facteurs déjà énumérés un danger de plus pour la santé de l’homme (sans parler des farines de cadavres de mouton dont on les a longtemps gavées et dont on commence à mesurer aujourd’hui les graves conséquences sous le terme de «maladie de la vache folle»).
Les produits laitiers d'Europe inondent le Marché et s'expatrient vers les autres pays, notamment les pays tropicaux dont le climat ne permet pas aux consommateurs leur assimilation : de nombreux problèmes de santé en découlent sans en soupçonner leur origine.
Pourquoi, au moment où les médias dénoncent la viande contaminée par la maladie de la vache folle, ne se préoccupe-t-on pas de la qualité du lait de vache ? Et pourtant, il semble logique de se poser, au moins la question.
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attout62
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MessageSujet: Re: le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2   le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2 Icon_minitimeMer 1 Juil - 15:37

Evolution pathologique

Le bébé supporte très mal le sevrage lorsqu’on lui substitue au lait maternel du lait de vache dit maternisé. Le rejet et les perturbations sont immédiats. Ses premières manifestations seront des selles qui s’éclaircissent (c’est une atteinte biliaire), des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu'à l'étouffement, conséquence d'une intolérance au lait de vache, troublant la fonction stomacale ou biliaire. Des rougeurs, des boutons, des croûtes pourront surgir ainsi que des diarrhées.
Les réactions du bébé seront d'autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité. La plupart des mamans, mal informées, persévèrent dans cette pratique. Le bébé, par nécessité, finit par s’adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique.
Petit à petit, les manifestations d'un dysfonctionnement cesseront.
Le premier signal d'alarme se tait. On n'aura ni entendu ni supprimé la cause. La mère s'imaginera que tout est rentré dans l'ordre mais il n'en est rien. C'est grave, car le potentiel vital du bébé en sera affaibli, l'amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.

L’encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.

A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.

La cause demeurant, la situation reste inchangée. Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaire et osseuse), des troubles du poids, d’attention, de vision, s’ajoutant aux fatigues et nervosité.

A l'âgé adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques). Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique.

Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.

Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en "ites", se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en "oses" (artérioscléroses, tuberculoses, canceroses).

Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier garde car le potentiel vital de la personne s’est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie. La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.

Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait vu être facilement évitée.

L’intoxication à l’acide lactique

A l'âge adulte, nous avons perdu la quasi-totalité des lactases, enzymes indispensables à la digestion du lait. Cette enzyme est présente chez le bébé qui tête sa mère.

Si malgré cela, l’adulte consomme des produits laitiers, il va non seulement ne pas digérer cet aliment, mais créer un état de suractivation d’acide lactique qui en trop grand quantité dans l’organisme, deviendra toxique. En effet, une élévation de l’acide lactique au niveau cellulaire engendre une prolifération de cellules qui n’atteindront pas leur maturité, (la quantité détruit la qualité) et seront incapables de capter l’oxygène et d’éliminer les déchets. Ces perturbations de kystes et de tumeurs.

D’autres en parlent

Le Docteur Dufhilo (dans Vie et action) rend le lait de vache responsable d’encrassement et affirme qu’un retour à la bonne santé doit passer par un décrassage intelligent. Il a traité des malades présentant des tumeurs aux seins avec la suppression totale de tous les produits laitiers. Il propose aux malades d’en faire eux-mêmes l’essai et de se passer de lait durant un ou deux mois et de voir. Il propose également aux bien-portants de la faire en tant qu’expérience pour constater s’ils en retirent un regain de vigueur, entrain et endurance.

Le docteur Arturo Capdeville, constate des paralysés infantiles (polio) dues à la consommation de produits laitiers.

Les troubles de santé par l’apport quotidien de lait de vache sont nombreux : les maladies cardio-vasculaires, les inflammations, les allergies, les syndromes de mort subite chez le jeune enfant, les troubles nerveux mineurs et la schizophrénie.

L’intolérance à la béta-lacta-blobuline, une protéine du lait de vache, est très fréquente chez les nourrissons et ceux-ci ont le réflexe intelligent de la refuser. Ils pleurent, crachent, vomissent, ont des diarrhées, amis l’insistance bornée des adultes conduit son organisme dans un état de tolérance des antigènes du lait de vache.

Bruno Comby constate des améliorations des états de sida avec la suppression des laitages. Il déplore que l’homme soit le seul mammifère qui continue à boire du lait à l’âge adulte (à son désavantage) bien que notre sécrétion d’enzymes digestifs du lait (lactase) se tarisse à partir de l’âge de trois ans.

Pour le pédiatre Paul Gyorgy, le lait de vache est le meilleur pour le veau et le lait maternel est le meilleur pour le bébé.

Les Docteurs Dominique Gros, Richard Lennart et Paul Vesin encouragent l'allaitement maternel et déconseillent vigoureusement le lait de vache.

Roland Fietta, naturopathe, prêtend que le lait de vache proyoque des obésités, des rhumatismes, infections, allergies, troubles nerveux, spasmophilie. En cas d’otite à répétition, il est nécessaire, dit-il, de réduire ou de supprimer le lait et les laitages. Il ajoute qu'en Scandinavie, on trouve des problèmes graves de dystrophie osseuse, des acromégalies d'origine hypophysaire osseuse, des néphroses du buveur de lait (le rein qui se transforme en cailloux).

Le Docteur Comet rend le lait responsable de troubles hormonaux par la présence quasi permanente de protéines lactées dans la région hypophysaire provoquant des freins hormonaux responsables de troubles des règles, de stérilité, de prise de poids, de mastoses et de kystes bénins de la glande mammaire. Par son acide butyrique corrosif pour l'être humain, mais physiologique pour le veau, il constate la présence de toxines agissant sur le foie qui sont responsables de nombreuses crises de foie, de colites, d'infections, de maux de tête, de rhumatismes.

Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers. Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium (le Nouvel Objectif n' 4, mai I990).

Dans le «Droit à la Santé», il signale : «l'acide butyrique contenu dans le lait, le beurre et le fromage attaque la paroi intestinale, permettant un passage dans le sang des résidus contenus dans les excréments qui pourront être digérés. Cela équivaut à une surdigestion des excréments, phénomène normal chez le veau sous la mère qui grossit ainsi de 1 kg par jour pendant 6 mois……mais qui au-delà de cet âge, ne se nourrira que de végétaux.».

Dans la «Médecine végétale illustrée», du Docteur A Narodetzki, nous trouvons dans la rubrique lait de vache cette information : «le lait contient des germes infectieux parce que les vaches sont souvent atteintes d'une maladie infectieuse et de phtisie (sommelière). Son usage peut transmettre la tuberculose dans les poumons, le cerveau (méningite), les os et autres organes, la scarlatine et provoquer la diarrhée verte chez les nourrissons. Le lait est défendu dans l'enterocolite muco-membraneuse, dans les entérites parce qu'il favorise les bacilles protéolytiques qui existent dans les entérites et provoque des gaz, des ballonnements, et des douleurs».

Michio Kushi, spécialiste en rnacrobiotique, auteur de plusieurs livres, dit dans le Livre de la Macrobiotique: «Les produits laitiers ne rentrent pas dans l'art culinaire de la macrobiotique. Le lait de vache n'est bon que pour le veau».

Le Professeur Reinert (centre hospitalier intercommunal de Créteil) donne une information intéressante : «les anticorps IGA dans le lait maternel ont certes un rôle important mais les cellules vivantes comme les lymphocytes 11 et les macrophages sécréteurs d'interféron transmettent sans doute une information immunitaire durable se prolongeant pendant plusieurs mois». C'est Pourquoi il est si important d’allaiter le bébé au sein durant au moins les six premiers mois, au mieux durant trois ans.

Jane Cottinghan, dans son livre «Le biberon bébé», remarque que chez l'homme la consommation de lait d'animaux date de 10 000 ans et que son industrie s'est vraiment développée depuis 50 à 70 ans chez seulement quelques espèces humaines. C'est donc un phénomène relativement récent. L’ingestion de lait de vache chez le bébé provoquerait des infections intestinales incluant des diarrhées de type escherichia-coli et autres organismes, entérovirus, tandis que le lait maternel est un anti-infectieux, grâce à la présence d'une sécrétion d'immunoglobuline à lysozyme et de facteur bifidus.

Dans le dépliant de la Caisse Nationale de l'Assurance Maladie des travailleurs, tiré des éditions Objectif Santé, il est écrit : «Les laits maternisés, par leur apport de protéines animales et végétales, enterainent un excés d’urée et des déchets.»

Par quoi remplacer le Lait ?

Le lait de soja, les crèmes de dessert au soja, le tofu (obtenu en caillant le lait de soja), les yaourts au lait de soja, le lait d’amandes (obtenue en mixant des amandes avec de l’eau), le lait de céréales, le lait de riz, lait de sésame, lait d’orge...


extrait du livre "Au delà de votre assiette" du Dr Vincent Delaveyne

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MessageSujet: Re: le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2   le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2 Icon_minitimeLun 6 Juil - 22:10

je ne suis pas la mieux placée pour contredire votre écrit monsieur attout mais ce que je peux vous assurer c'est qu' actuellement, tout organisme produisant du lait pour consommation à large publique adulte n'utilise que très peu de lait de vache soit moins de 25% du lait qui se vend en sachet est du lait de vache, tout le reste est du lait en poudre importé des pays européens. le lait de vache ne sert qu'a la transformation pour production de dérivés laitiers comme le yaourt, les fromages dans tout genre, petit lait et du beurre.

d'autre part, le soja dont vous nous parlez est introuvable dans notre pays, pour ma thèse de fin d'études, j'ai du faire intervenir tout un groupe de personnes pour me procurer à peine 20g de france, pensez vous que le lait de soja serais plus accessible?

le kg d'amande coute environ 450da dans ces plus bas prix, croyez vous qu'un père de famille avec des revenus moyens serais capable de procurer a sa progéniture du lait d'amandes ou de sésames qui coute plus cher encore?

votre article est très très intéressant mais les solutions ne sont pas des plus facile à utiliser dans notre société. merci encore
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MessageSujet: Re: le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2   le lait de vache actuel,source de toutes les pathologies ..1/2 Icon_minitime

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