Paroles perlées des politiques!

le député UMP Lionnel Luca : "Il n'y a pas besoin d'être de droite ou de gauche pour dire des conneries". Voilà au moins une qualité bien partagée dans le monde politique. © Montage L'Internaute Magazine




Bernard Kouchner est sans doute la plus célèbre. Au sujet des expulsions de Roms, il dit : "J'ai bien pensé à démissionner, mais je n'ai pas voulu déserter". Il est vrai que l'un est puni plus sévèrement que l'autre. © Montage L'Internaute Magazine



Le respect des électeurs en politique, c'est sacré. Mais quand on s'appelle Georges Frêche, l'équation est légèrement différente. Ses électeurs, le président du Languedoc-Roussillon les adore : "Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 % ; moi je fais campagne auprès des cons". © Montage L'Internaute Magazine



Après chaque élection locale, c'est le même casse-tête. Faut-il remanier et avec quelle ampleur ? Pour de secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant, le remaniement d'après régionales devait être minimal. Et la raison est simple : "Je veux bien qu'on fasse un remaniement, mais on manque de stock". Même avec l'ouverture ? © Montage L'Internaute Magazine



Nommé ministre de la Culture il y a quelques mois, Frédéric Mitterrand est encore marqué par le souvenir de celui qui fut l'illustre ministre de son oncle, Jack Lang : "Quand on m'appelle Monsieur le ministre, j'ai toujours l'impression que Jack Lang va surgir derrière moi!" © Montage L'Internaute Magazine


Patrick Balkany, plutôt connu pour ses déboires avec la justice : "Je suis l'homme le plus honnête du monde". © Montage L'Internaute Magazine



Il est des personnalités qui aiment les médias. Ce qui est même parfois réciproque. Mais nier cet amour peut parfois donner une situation étonnante comme dans le cas de Rachida Dati avec cette phrase : "Je n'ai jamais cherché à attirer l'attention des médias". © Montage L'Internaute Mag



Simple trait d'humour ou pique envoyée à sa suppléante, la très active Danielle Giazzi ? Le député de Paris Claude Goasguen craint en tout cas une petite grippe : "Une chose est sûre, ce ne sont pas nos suppléants qui vont nous pousser à nous faire vacciner contre la grippe A". A quand un vaccin anti-suppléant ambitieux ? © Montage L'Internaute Magazine



Jean-François Cope est bien vivant. Et pourtant... Après avoir présidé un comité de réflexion sur la fin de la pub sur les chaînes publiques, le président du groupe UMP à l'Assemblée promettait : "Moi vivant, il n'y aura pas d'augmentation de la redevance". Deux mois plus tard, cette dernière passait de 118 à 120 euros. © Montage L'Internaute Magazine



Ségolène Royal n'a pas manqué de médiatiser sa présence à l'investiture de Barack Obama en janvier 2009. L'occasion pour elle de vanter, en toute modestie, sa campagne de 2007 : "J'ai inspiré Obama et ses équipes m'ont copiée". Rassurez-vous, Ségolène Royal a depuis précisé qu'il s'agissait d'une blague. © Montage L'Internaute Magazine



Avant d'officialiser sa retraite politique, Michel Rocard n'avait pas très envie de commenter les querelles socialistes : "Le PS est mal portant ; et comme je respecte les hôpitaux, je baisse la voix comme on doit le faire quand il y a un malade dans la place". © Montage L'Internaute Magazine



Jean-Marc Ayrault, le patron des députés socialistes à l'Assemblée a un scoop. Si les Français venaient à le savoir, Nicolas Sarkozy et l'UMP n'auraient qu'à bien se tenir : "Au PS on est utile, mais personne ne le sait". © Montage L'Internaute Magazine



Jean-Louis Borloo qui s'amusait alors de la rivalité entre Nicolas Sarkozy et François Fillon : "Sarkozy, c'est le seul qui a été obligé de passer par l'Elysée pour devenir Premier Ministre". © Montage L'Internaute Magazine



Xavier Bertrand avait alors trouvé un argument imparable pour la fusion des deux principaux adversaires de l'UMP: "Le Parti socialiste est un parti sans leader. François Bayrou est un leader sans parti. Ils sont faits pour fusionner". © Montage L'Internaute Magazine



Lors de la visite du secrétaire d'Etat aux Sports et à la Jeunesse Bernard Laporte, en 2007, les Guadeloupéens n'avaient pas dû en croire leurs yeux. Ou plutôt leurs oreilles ! "Je voulais voir les Antilles de vive voix". © Montage L'Internaute Magazine



En pleine succession de "couacs" au début de l'année 2008, Eric Besson tente de rassurer sur la cohésion du gouvernement . Résultat limpide : "On ne peut pas s'entendre avec tous les Ministres, car tous les Ministres ne peuvent pas s'entendre". © Montage L'Internaute Magazine