LE POINT VERT DE LA PHARMACIE ET DE LA VIE
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 Les nouvelles armes pour lutter contre le cancer

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MessageSujet: Les nouvelles armes pour lutter contre le cancer   Les nouvelles armes pour lutter contre le cancer Icon_minitimeDim 7 Fév - 0:04

Depuis une dizaine d'années, de nouveaux traitements font leurs preuves dans le traitement de certains cancers.

-Thérapies ciblées,
-médecine régénératrice,
-thérapie génique
...

La chirurgie, pour retirer la tumeur


Une fois le diagnostic posé, c'est dans beaucoup de cas le premier traitement que le médecin va préconiser : l'ablation de la tumeur. Pour ce faire, plusieurs conditions doivent être remplies.
Pour commencer, il faut évidemment qu'il y ait une tumeur. S'il s'agit d'un cancer du sang (hémopathie maligne), par exemple, on ne peut avoir recours à la chirurgie puisque, par définition, le cancer se situe dans les cellules du sang et ne forme donc pas une masse compacte que l'on peut enlever.

La tumeur doit être placée de façon à ce que le chirurgien puisse y accéder : parfois, il peut risquer d'endommager des éléments vitaux et préférer ne pas risquer l'opération. Ce peut notamment être le cas de certaines tumeurs du cerveau.

Le médecin peut également renoncer quand la tumeur et ses métastases sont trop étendues.

Si toutes les conditions sont réunies, le chirurgien va donc retirer la tumeur. Le but est d'essayer d'ôter toutes les tumeurs cancéreuses. C'est pourquoi il est parfois amené à enlever également une partie des tissus sains autour de la cellule, par sécurité. Ainsi, pour une tumeur du sein, il faut parfois enlever le sein en entier. Cela dépend souvent de l'état d'avancement du cancer, mais aussi de sa nature et de l'endroit où il est situé, entre autres critères.

Le médecin peut aussi être amené à retirer une chaîne ganglionnaire (sous l'aisselle par exemple), afin de vérifier que le cancer ne s'y est pas propagé. La suite du traitement dépendra notamment de cette donnée.


La chimiothérapie, pour bloquer la multiplication des cellules


C'est souvent un traitement redouté car il est connu pour ses effets secondaires particulièrement sévères et désagréables. Pourtant, la chimiothérapie constitue toujours un traitement de référence, elle est un pilier du trio chirurgie-chimiothérapie-radiothérapie. Elle est utilisée soit en première intention, c'est-à-dire avant toute autre intervention, afin de diminuer la taille de la tumeur à retirer, soit, plus souvent, après la chirurgie, pour compléter le traitement ou essayer d'éliminer les éventuelles métastases.
Comme son nom l'indique, la chimio consiste à essayer de tuer le cancer grâce à des produits chimiques. Pour appréhender son fonctionnement, il faut d'abord comprendre comment le cancer se multiplie dans l'organisme. Un cancer, au départ, c'est une cellule défaillante dans notre corps. Comme toutes les cellules, pour se reproduire, elle se réplique, c'est-à-dire qu'elle copie tout son ADN, puis se divise en deux cellules identiques à celle d'origine, ces cellules donnent à leur tour deux autres cellules identiques, et ainsi de suite : c'est la division cellulaire.

Les cellules cancéreuses ont la particularité de se reproduire particulièrement vite, c'est d'ailleurs ce qui contribue à les rendre si dangereuses, car elles colonisent l'espace a priori destiné à des cellules saines. En outre, elles sont "autonomes" et ne répondent pas à l'appel de l'organisme qui leur demande d'arrêter leur multiplication. Ajoutez à cela que les cellules cancéreuses ne sont pas non plus capables de s'auto-détruire, comme les autres cellules de l'organisme, et vous comprenez qu'il est particulièrement difficile de lutter contre elles.


Les produits administrés lors de la chimiothérapie agissent le plus souvent au moment de cette division cellulaire, pour la bloquer. Lorsque cela fonctionne, le cancer peut donc être circonscrit puisqu'il n'y a plus de création de nouvelles cellules. Malheureusement, si certaines cellules cancéreuses ont survécu au traitement, il se peut qu'elles recommencent à se multiplier quelque temps après l'arrêt de la chimiothérapie. C'est la rechute.

Effets secondaires sérieux
Cette technique est souvent efficace. L'ennui, c'est que le produit agit sur l'ensemble des cellules à division rapide et non pas uniquement sur les cellules cancéreuses. C'est ce qui explique certains effets secondaires : les cellules responsables de la pousse des cheveux, du renouvellement de l'épithélium intestinal ou encore les cellules sanguines sont elles aussi stoppées dans leur multiplication après quelques semaines de traitement. On assiste alors souvent à la chute des cheveux, à des troubles digestifs et vomissements et aussi à une anémie (par diminution des globules rouges), à un risque d'infection (par diminution des globules blancs) et un risque de saignement (par diminution des plaquettes sanguines).
Etant donné la toxicité de la chimiothérapie pour l'organisme, elle doit être dosée et administrée avec précaution. Le dosage est généralement ajusté en fonction de la maladie mais aussi du poids et de la taille du patient.

Le plus souvent, le traitement est administré par intraveineuse, même s'il existe aujourd'hui certaines formes orales de chimiothérapies. Les séances ont souvent lieu à l'hôpital et durent de quelques minutes à quelques heures. Parfois, elles se font aussi à domicile, avec la présence d'une infirmière. Elles sont espacées de plusieurs semaines et se déroulent généralement sur 4 à 6 mois. On parle de cycles de chimiothérapie. Ils peuvent être ajustés en fonction de la réaction du patient et de la sévérité des effets secondaires.

La radiothérapie, un traitement ultra-précis


La radiothérapie constitue le troisième pilier du traitement classique. Elle consiste à envoyer des radiations précisément au niveau des cellules cancéreuses, là encore pour les empêcher de se multiplier. Ce sont les fameux "rayons". Ils peuvent être prescrits seuls ou en complément de la chimiothérapie et/ou de la chirurgie. La radiothérapie peut être utilisée dans le but de soigner le patient mais aussi pour soulager la douleur uniquement ou encore pour augmenter son espérance de vie, lorsque le cancer est à un stade métastatique.
La quantité de radiations envoyées est mesurée en gray. Elle varie en fonction de la grosseur et de la nature de la tumeur, certaines répondant mieux que d'autres au traitement. Là encore, la dose est savamment calculée : trop peu et l'efficacité sera moindre, trop et l'organisme du patient risque d'en souffrir. La dose à administrer est fractionnée en petites séances. Avant de procéder, le médecin va calculer très précisément la zone à irradier.

Effets à long terme
L'ennui, c'est que pour atteindre la tumeur, les rayons doivent traverser des tissus sains de l'organisme. La technique consiste donc à envoyer les rayons sous différents angles : ainsi, les tissus sains recevront beaucoup moins de rayons que la tumeur.
La radiothérapie externe n'est pas exempte, elle non plus, d'effets secondaires. Il y a ceux qui apparaissent dans les semaines ou les mois qui suivent le traitement : peau brûlée par les rayons, muqueuses irritées, diarrhées, douleurs abdominales, insuffisance rénale... Tout dépendant de l'endroit où la radiothérapie a été administrée. Une seconde série de symptômes apparaît parfois plusieurs mois, voire plusieurs dizaines d'années après l'arrêt du traitement. Il s'agit le plus souvent de fibrose, c'est-à-dire de la formation de tissu fibreux au niveau de certains tissus (conjonctif, osseux ou cartilagineux par exemple

Un traitement qui cible en priorité les cellules cancéreuses


Depuis une dizaine d'années, une piste prometteuse s'est concrétisée en traitements vraiment concluants : ce sont les thérapies ciblées. L'idée de départ est simple, même si difficile à mettre en application : il s'agit de viser uniquement les cellules cancéreuses dans le but de les détruire, et non toutes les cellules de façon indifférenciée, comme le fait la chimio. En théorie, c'est très simple. En pratique, un peu moins. "Il s'agit de créer un médicament suffisamment "intelligent" pour reconnaître les cellules cancéreuses, grâce à certains récepteurs situés sur la membrane externe de la cellule", explique Christian Cailliot, responsable de projets au département Recherche clinique et innovations à l'Institut national du cancer (Inca).

Comment faire ? Les chercheurs ont choisi de se servir des récepteurs membranaires. Ce sont des protéines complexes qui sont présentes sur la surface externe de la cellule. Elles sont différentes selon le type de cellules auxquelles on a à faire et constituent sa carte d'identité, y compris pour les cellules cancéreuses. En repérant l'un de ces récepteurs, et en créant un médicament qui ne s'attaque qu'aux cellules porteuses de ce récepteur, on peut donc tuer les cellules cancéreuses en épargnant autant que possible les autres cellules saines : c'est une thérapie ciblée.

Empêcher la vascularisation
La principale difficulté est de réussir à définir le récepteur qui n'est présent QUE sur les cellules cancéreuses et être certain qu'il n'est pas aussi présent sur d'autres types de cellules. Imaginons : une protéine A repérée sur les cellules cancéreuses du foie et pas sur les cellules normales du foie. Si cette protéine A est aussi présente sur les cellules cette fois normales de la thyroïde, un traitement ciblé contre A risque d'atteindre le cancer du foie mais aussi la thyroïde... Les chercheurs doivent donc identifier les protéines sur les cellules cancéreuses mais aussi sur toutes les autres. Quelques années de recherche en perspective...
Il existe aujourd'hui plusieurs types de thérapies ciblées. Parmi elles, celles qui visent l'environnement de la tumeur. Leur cible : les vaisseaux qui viennent alimenter la tumeur cancéreuse. En effet, celle-ci a besoin d'un approvisionnement sanguin important pour se développer. Elle constitue des ramifications vasculaires à proximité, ce qui lui permet de s'alimenter et de grossir. "Les premières thérapies ciblées étaient donc constituées d'anticorps capables de détruire la protéine de la cellule cancéreuse qui stimulait la production de vaisseaux ", explique le Professeur Gilles Vassal, directeur de recherche clinique et translationnelle à l'Institut Gustave Roussy (IGR).

D'autres thérapies ciblées s'attaquent aux protéines responsables de la communication, ou encoredu manque de communication, entre les cellules cancéreuses et le reste de l'organisme. Par exemple, on l'a vu, ces cellules sont devenues indépendantes et refusent de mourir, c'est un des problèmes avec le cancer. Ces thérapies vont donc agir sur les protéines responsables de l'absence de cette communication, rendant ainsi les cellules cancéreuses à nouveau mortelles en leur intimant l'ordre de se détruire.


Moins d'effets secondaires et un traitement à plus long terme


Si ces thérapies intéressent autant chercheurs et médecins, c'est qu'elles présentent de nombreux avantages pour le patient.
Par définition, elles ne s'attaquent a priori qu'aux cellules cancéreuses. "Par conséquent, les effets secondaires liés à la chimiothérapie, qui s'attaque à toutes les cellules à renouvellement rapide, ne seront pas ou peu présents", . Ces thérapies ciblées ne font pas perdre les cheveux, n'affaiblissent pas ou peu le système immunitaire... Attention, cela ne signifie pas qu'il n'y a pas d'effets secondaires. "Ces médicaments peuvent engendrer une certaine asthénie ou une toxicité cutanée, Ces manifestations peuvent être plus ou moins sévères selon les patients.
L'autre énorme avantage de la thérapie ciblée, c'est que, grâce à sa toxicité moindre, elle peut être administrée sur du plus long terme. "Avec une chimiothérapie classique, on doit s'arrêter après quelques cycles pour ne pas engendrer des dommages trop graves pour l'organisme, . Si jamais toutes les cellules cancéreuses n'ont pas été éradiquées, le cancer peut reprendre à tout moment. Avec la thérapie ciblée, on peut beaucoup plus facilement continuer le traitement à plus long terme. On peut même imaginer que, sans se débarrasser complètement du cancer, le patient puisse "vivre avec", le cancer étant toujours présent mais non évolutif sous traitement. Le cancer deviendrait alors une maladie chronique, un peu comme l'hypertension ou le diabète."

Evidemment, si c'était aussi simple, ça se saurait...Il y a donc encore pas mal d'obstacles pour en arriver à cette chronicisation sans risques. En particulier, n'y a-t-il pas un risque de mutation de la cellule cancéreuse, qui deviendrait alors résistante au traitement ? "Bien sûr qu'il y a encore beaucoup d'autres problèmes à régler, Mais il y a déjà eu dans certaines pathologies des résultats très convaincants et qui vont dans le sens d'une chronicisation de la maladie."

Enfin, ce type de traitement peut souvent être administré par voie orale, sans avoir besoin de se rendre régulièrement à l'hôpital comme pour la plupart des chimiothérapies.

Déjà des traitements contre les leucémies, cancers du rein ou du sein




La thérapie ciblée a déjà fait ses preuves. Elle est utilisée depuis une dizaine d'années dans le traitement de divers cancers, dont certains étaient jusque-là considérés comme incurables. Elle est peut être associée à une chimiothérapie ou à d'autres traitements.
"L'une des premières thérapies ciblées a concerné le cancer du rein, Avant, à moins de le détecter au tout début, on n'avait aucun médicament efficace pour le soigner. Or, la tumeur cancéreuse du rein est très dépendante de sa vascularisation. Grâce à ce médicament qui contrecarrait cette vascularisation, on a pu nettement améliorer le pronostic des patients, y compris pour ceux dont le cancer était détecté à un stade avancé."
La thérapie ciblée a aussi révolutionné le traitement de certains cancers du sein, de mêmes que certains cancers du poumon.

Mieux
: le Glivec a complètement changé la donne concernant les malades atteints d'un type particulier de leucémie dite myéloïde chronique. "Auparavant, on en mourait à tous les coups, faute de traitement efficace,. Aujourd'hui, c'est l'inverse : on y survit presque toujours."

Au vu de ces succès, il est donc logique que ces thérapies ciblées constituent l'un des principaux axes de recherche dans le traitement du cancer. Sein, poumon, prostate, colon, ovaire... Plusieurs milliers de programmes de recherche sont en cours dans tous les types de cancer, même s'il faudra attendre quelque temps avant qu'ils aboutissent à des traitements efficaces et sûrs.
.

La thérapie génique, une voie d'avenir ?


Elle a fait la preuve de son efficacité pour soigner certaines maladies génétiques. On a longtemps cru qu'elle révolutionnerait le traitement du cancer. Aujourd'hui, on n'en est plus si sûr, même si cette voie n'est pas abandonnée et peut réserver des surprises.

La thérapie génique, comme son nom l'indique, consiste notamment à aller réparer le gène défaillant au cœur de la cellule, qui peut ainsi accomplir à nouveau son travail correctement. C'est sur ce principe que le Professeur Fischer et son équipe dirigée par , il y a quelques années, a réussi à soigner les célèbres "bébés bulles", qui n''ont pas de défenses immunitaires adéquates pour vivre dans le monde extérieur. Plus récemment, les personnes atteintes d'adrénoleucodystrophie ont également bénéficié de la thérapie génique.

Pour le cancer, la situation semble plus compliquée et les progrès moins rapides. "Nous avions de gros espoirs il y a dix ans, se souvient le professeur Vassal. Nous nous disions que nous pourrions aller réparer l'anomalie au cœur de la cellule cancéreuse. L'ennui, c'est que c'est encore plus compliqué que pour une maladie génétique. Outre le fait qu'il faut trouver un vecteur inoffensif pour faire rentrer le gène sain dans le noyau de la cellule, le problème avec les cellules cancéreuses, c'est qu'il y a plusieurs gènes défectueux à l'intérieur. Et pour qu'elle ne soit plus cancéreuse, il faudrait tous les réparer. La tâche est donc extrêmement compliquée. Mais rien n'est jamais fini, cette piste peut tout à fait redémarrer et progresser alors rapidement."



Cellules souches, nanoparticules... Pourquoi pas ?


Quelques autres pistes thérapeutiques sont à l'étude. Sans être aussi abouties, pour l'instant, que les thérapies ciblées, elles suscitent également l'espoir des chercheurs.

Les fameuses cellules embryonnaires, qui défraient régulièrement la chronique, pourraient un jour aboutir à des traitements contre le cancer.
"La médécine régénératrice, c'est l'idée de pouvoir un jour non plus tenter de réparer mais plutôt de remplacer les organes défaillants ", Les cellules souches, sont des cellules qui ne sont pas ou peu différenciées, c'est-à-dire qu'elles peuvent potentiellement se transformer en différents types de cellules.
Aujourd'hui, par exemple, avant une chimiothérapie qui tue les globules blancs, responsables de la lutte contre les infections, on peut prélever des cellules souches sanguines, les cultiver en laboratoire, puis les réinjecter une fois la chimiothérapie terminée, pour permettre une meilleure récupération de ces cellules et contrer ainsi les effets secondaires du traitement.

On peut aussi injecter des cellules issues d'un embryon ou du sang de cordon ombilical. "L'état immunologique de ces cellules est plus immature que celles des adultes, elles risquent donc moins d'être attaquées en tant que corps étranger quand elles seront greffées. Par ailleurs, elles se différencient plus facilement pour donner les cellules nécessaires. Une des voies de recherche aujourd'hui serait aussi de pouvoir reconstruire carrément un organe, à partir des cellules souches du patient. Mais tout cela n'est pour l'heure que purement expérimental. Sans compter que se posent également des problèmes éthiques."


Un souci tout de même, concernant la greffe autologue (c'est-à-dire avec les propres cellules de la personne malade) : il a développé un cancer une fois, on peut donc penser que ses cellules sont "programmées" pour développer ce cancer, qu'il s'agisse des anciennes cellules ou des nouvelles qui viennent d'être développées.
Toujours concernant les cellules souches, . "Si on pouvait identifier ces cellules souches tumorales, on pourrait probablement avoir recours à des traitements plus radicaux. C'est un grand espoir, encore faut-il réussir à identifier ces cellules souches." Et ce n'est pas une mince affaire puisqu'une "petite" tumeur de 1 cm contient pas moins de 1 milliard de cellules...


Autre piste intéressante, celle des nanoparticules : "C'est une voie toute récente, . L'idée est d'amener de façon plus efficace les molécules précisément là où on en a besoin, c'est-à-dire dans la cellule cancéreuse. Pour cela, ces nanoparticules sont couplées à d'autres substances comme certaines chimiothérapies, permettant ainsi de réduire considérable la dose de chimiothérapie nécessaire."
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