Note ministérielle relative aux modalités de distribution de l'oseltamivir

République Algérienne Démocratique et Populaire

Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière--------------------------------------------------------------------------------



INSTRUCTION N° 38 DU 21 DECEMBRE RELATIVE

AUX MODALITES DE DISTRIBUTION DE L’OSELTAMIVIR
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Réf. : Instructions n°36 et 37 relatives à l’administration et la prescription de

l’Oseltamivir.

A l’effet de mettre en application les instructions sus référencées, le Directeur de la

Santé et de la Population devra veiller scrupuleusement, outre à la disponibilité de

l’Oseltamivir dans les structures de santé publiques, parapubliques et privées, à

l’exécution des directives complémentaires suivantes:

- élaborer un plan de répartition de l’Oseltamivir (dosage adulte et enfant)

• par officine en coordination avec le bureau du SNAPO de wilaya

• par pharmacie des établissements sanitaires en coordination avec les Directeurs des établissements sanitaires publics;



• Madame et Messieurs les Walis Pour information

• Madame et Messieurs les Directeurs Centraux du Ministère de la Santé de la Population et de la Réforme Hospitalière Pour information

• Madame et Messieurs les Directeurs Généraux des institutions sous tutelle Pour information

• Madame et Messieurs les Directeurs de la Santé et de la Population (DSP) : Pour exécution et communication aux :

Directeurs et Directrices des Etablissements Hospitaliers (EH)

Directeurs et Directrices des Etablissements Publics Hospitaliers (EPH)

Directeurs et Directrices des Etablissements Hospitaliers Spécialisés (EHS)

Directeurs et Directrices des Etablissements Publics de Santé de Proximité (EPSP)



• Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux de CHU Pour exécution

• Monsieur le Directeur Général de l’EHU d’Oran Pour exécution

• Monsieur le Directeur Général de la PCH Pour exécution

• Madame la Directrice Générale de l’INSP Pour information

• Monsieur le Directeur Général de l’IPA Pour information

• Monsieur le Président du Syndicat National des Pharmaciens d’Officine (SNAPO) Pour exécution

- évaluer hebdomadairement l’état d’utilisation de ce médicament par officine et par pharmacie des établissements sanitaires publics. Cette évaluation sera transmise au Directeur Général de la PCH pour exploitation ;

- transmettre les instructions n°36,37 et 38 à l’ensemble des médecins des secteurs public, para public et privé ainsi qu’aux officines identifiées et habilitées à la délivrance de l’Oseltamivir.



Le médecin traitant, public, parapublic ou privé, devra :

- établir une ordonnance spécifique à la prescription de l’Oseltamivir (aucune autre prescription ne doit y figurer) dument signée. Celle-ci sera récupérée obligatoirement par le pharmacien lors de la délivrance de l’Oseltamivir.



Le responsable de l’officine privé doit signer un engagement ferme de respect du mode de délivrance de l’Oseltamivir :

- la délivrance est strictement gratuite ;

- la délivrance de l’Oseltamivir ne se fera que sur prescription médicale ;

- il est tenu de garder l’ordonnance honorée ou sa copie ;

- il est tenu de procéder à l’inscription de ces actes de dispensation sur l’ordonnancier détenu par l’officine ;

- il est tenu de délivrer l’Oseltamivir quelque soit l’origine de l’ordonnance (médecin public, parapublic ou privé) ;



Le responsable de l’officine public doit reporter sur un registre coté et paraphé par le Directeur de l’établissement l’ensemble des renseignements suivants : nom et prénoms du patient, date de délivrance de l’ordonnance, numéro du lot de l’Oseltamivir, dosage et quantité délivrée, nom et prénoms et lieu d’exercice du prescripteur. Je rappelle que cette opération est sous l’entière responsabilité du Directeur de la Santé et de la Population et des instances du SNAPO. L’ordonnance et le registre sont considérés comme pièce comptable. L’approvisionnement en Oseltamivir se fait auprès de la Direction de la Santé et de la Population de wilaya et sa délivrance est

gratuite.



J’attache une importance toute particulière à la stricte exécution de cette instruction et vous demande de veiller à une coopération saine et fructueuse avec les instances habilitées du SNAPO qui sont à remercier pour leur engagement et leur appui.



Copie transmise à : - Monsieur le Ministre



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Je comprends rien à tout ça! pourquoi le pharmacien est le subordonné de l'administration ? pourquoi le snapo et pas les autres syndicats du corps médical? un syndicat a t-il pour mission de gérer ce genre de situation? qui va payer le registre ( 2000 DA) ? pourquoi le pharmacien seul travail sans rémunération? pourquoi le conseil de l'ordre veut -il lui aussi etre partie prenante? Pourquoi le conseil de l'ordre devient pour la circonstance porte parole des grossistes en médicaments ( lire les articles du soir d'algérie d'aujourd'hui)? qu'est ce qui fait courir certains individus du snapo et du conseil de l'ordre pour proposer leurs services sans réquisition?.
Je remercie vivement monsieur "catalyseur" pour son post du 11 décembre intitulé"Le pharmacien face à la grippe A en france!" , je vous invites à lire ce post et les revendications de la fédération syndicale des pharmaciens de france pour se rendre compte du fossé qui nous sépare de la vraie pharmacie et du véritable role du pharmacien. et dont voici le contenu.

Les trois nouvelles missions du pharmacien

*L’épidémie de grippe A(H1N1) continue de s’étendre en France. Face à cette nouvelle progression du virus dans l’Hexagone, le gouvernement vient de décider la mise à disposition de la population des stocks d’antiviraux constitués par l’État. En première ligne du dispositif, les officinaux seront rémunérés 1 euro hors taxe pour chaque ordonnance délivrée.

*Le gouvernement passe la vitesse supérieure. Face à la nouvelle accélération de l’épidémie de grippe A(H1N1), un arrêté publié en fin de semaine dernière organise la délivrance gratuite des antiviraux dans les officines, en échange d’une prescription médicale. Déjà, les pharmaciens délivraient, à titre gracieux, les masques antiprojections aux patients munis d’une ordonnance. Désormais, ils sont invités à faire de même avec les traitements.
Plus précisément, dans quelques jours, les pharmaciens pourront délivrer sur ordonnance des kits comprenant un traitement antiviral et une boîte de masques issus du stock national. Le traitement antiviral peut être soit le Tamiflu 75 mg, soit le Relenza ou l’oseltamivir 30 mg conditionné par la pharmacie centrale des armées. La délivrance est « limitée à un kit par personne et par ordonnance », précise l’arrêté. Selon la prescription, l’officinal peut aussi être amené à délivrer seulement un des produits du kit..
*Une indemnité de délivrance
Quel que soit le nombre de composant dispensé, le titulaire percevra une indemnité de 1 euro hors taxes, soit 1,20 euro TTC. C’est en effet le tarif de la prestation qui devra être facturée à l’assurance-maladie, la TVA retenue étant celle à 19,6 %, selon Gilles Bonnefond, président délégué de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO). Lors de la facturation, il faudra aussi saisir le code de chaque boîte d’antiviral et de masque, comme lors d’une délivrance classique. Pour leur part, les grossistes-répartiteurs seront indemnisés 0,50 euro hors taxes pour la distribution du kit.
Toutefois, il faudra attendre encore quelques jours pour que la mesure devienne opérationnelle. Car, explique Roselyne Bachelot, la publication de cet arrêté ne signifie pas pour autant l’accès au stock d’État dans l’immédiat. « Il est en effet nécessaire de positionner ce stock dans les 22 000 officines pharmaceutiques et d’informer les professionnels de santé concernés des nouvelles modalités de prescription, ce qui prendra quelques jours », modère-t-elle. Le dispositif devrait être opérationnel le 21 décembre. Dernière précision, il sera levé par la ministre de la Santé dès que la situation épidémique ne le justifiera plus.
D’ici au 21 décembre, « un premier stock d’amorce va être livré à chaque officine, comprenant 5 flacons de Relenza poudre pour inhalation, 15 boîtes d’oseltamivir PG 30 mg comprimés sécables dispersibles et 10 boîtes de Tamiflu 75 mg gélules pour adultes », précise l’Union nationale des pharmacies de France (UNPF) dans ses « Informations professionnelles » du 7 décembre. Le réapprovisionnement s’effectuera, à la demande de l’officine, auprès du grossiste répartiteur qui lui a été affecté. À noter que ces produits doivent être rangés dans un endroit séparé des autres médicaments..

*Les solutions pédiatriques à l’officine

Autre mesure exceptionnelle prise dans le cadre de l’épidémie de grippe A(H1N1) : l’autorisation accordée aux pharmaciens de préparer dans leur officine les solutions de Tamiflu
pour les enfants de moins de un an, une pratique normalement réservée aux pharmacies hospitalières. Pour cela, le code de la Santé publique a même été modifié afin de lever l’interdiction de déconditionner les boîtes de médicaments. Un récent décret stipule ainsi que, « à titre exceptionnel, une préparation magistrale peut être réalisée à partir d’une spécialité pharmaceutique dans le respect des conditions prévues par les bonnes pratiques de préparation. »
Les bonnes pratiques de préparations élaborées par l’AFSSAPS précisent, par ailleurs, que la réalisation d’une préparation magistrale issue du déconditionnement de spécialités pharmaceutiques ne peut se faire qu’à deux conditions : l’impossibilité de disposer de la matière première par un autre moyen que le déconditionnement, et l’absence de spécialité disponible et adaptée pour traiter la pathologie concernée. En ce qui concerne la facturation, elle doit être réalisée selon les règles habituelles, indique l’UNPF. En pratique, la matière première étant gratuite, seulement le flacon, la pipette et la main-d’Å“uvre devront être comptabilisés, explique Gilles Bonnefond.
* Informer sur la vaccination.
Enfin, le ministère de la Santé compte également sur les confrères pour afficher sur leurs vitrines les adresses et les heures d’ouverture des centres de vaccination les plus proches*. Le Conseil national de l’Ordre les encourage vivement à le faire. « Les pharmaciens en contact avec le public (officinaux, hospitaliers, pharmaciens biologistes) trouvent là une nouvelle occasion de jouer leur rôle de postes avancés de santé », affirme l’instance. Notamment ceux des officines qui, avec un total de plus de 100 km de vitrines réparties sur tout le territoire, constituent, pour l’Ordre, un potentiel unique pour la diffusion de telles informations.

La fédération syndicale des pharmaciens de france revendique une rémunération plus juste

la FSPF dénonce « ce qu'il faut bien qualifier d'aumône », à savoir la rémunération à hauteur de 1 euro HT de l'acte de délivrance des traitements antiviraux de l'Etat.
Dans un courrier envoyé à la ministre de la Santé, Philippe Gaertner, président de la Fédération, explique être « assailli de nombreuses protestations de ses adhérents estimant que les responsabilité s confiées aux pharmaciens d'officine dans le cadre de cette distribution, leur implication ne sont pas reconnues à leur juste valeur ».

Philippe Gaertner ajoute que « le montant arrêté est loin de compenser les contraintes liées à la dispensation des kits issus des stocks nationaux (gestion de stock séparée, responsabilité de la conservation de produits appartenant à l'Etat, absence de reprise du stock d'officine, etc.) ».
La FSPF demande donc à la ministre « d'accorder aux pharmaciens d'officine, par un relèvement du montant [de la rémunération de l'acte de dispensation d'antiviral du stock national], la juste reconnaissance de leur rôle de professionnel de santé de premier recours

Article du soir d'algérie

L’initiative prise par le Syndicat national des pharmaciens d’officines (Snapo) de distribuer du Tamiflu à travers les officines n’a pas été du goût de l’Ordre des pharmaciens. Ce dernier rappelle que la distribution des médicaments obéit à une réglementation stricte qui ne doit être violée sous aucun prétexte.
- Désapprouvant la démarche du Snapo, le président de l'Ordre des pharmaciens d'Alger s’est dit étonné de voir un syndicat se substituer aux distributeurs agréés. Il indique à ce sujet que «la distribution des médicaments obéit à des normes. Il y a des règles à respecter en matière de traçabilité. Il aurait été plus logique de se recourir aux structures publiques. Le syndicat n’est certainement pas représenté dans l’ensemble des wilayas. Ce n’est pas une solution». Le Dr Benbahmed s’interroge également sur les modalités pratiques de cette distribution. «Où le syndicat va-t-il stocker ses produits ? Dans quelles conditions va-til les distribuer», dit-il, ajoutant que l’Ordre des pharmaciens est «gêné» par cette manière de faire. Quelle solution l’Ordre préconise-t-il pour accélérer la distribution de l’antiviral au niveau national ? Le président de l'Ordre des pharmaciens d'Alger considère qu’il aurait été plus judicieux d’impliquer les pharmaciens dans le comité de pilotage. «Nous aurions aimé qu’il y ait un représentant de l’Ordre des pharmaciens au sein de ce comité pour éviter cette improvisation. Le ministère de la Santé aurait dû réquisitionner les plus grands distributeurs pour passer par les canaux agréés, qui auraient mieux répondu à cette mission. Confier une partie des antiviraux à un syndicat ne peut constituer qu’une solution partielle, qui ne répond pas aux normes. Il n’y a que la PCH ou les grossistes agréés qui ont non seulement l’autorisation mais surtout les moyens de faire de la distribution.» De son côté, Messaoud Belamri, président du Snapo, indiquait, hier, dans un entretien accordé à un confrère, que son syndicat comptait distribuer 500 000 doses de Tamiflu et de Saiflu gratuitement. «La distribution gratuite se fera sur prescription médicale attestant l’atteinte du sujet. Quant à l’opération en question, les différents bureaux du syndicat travailleront en étroite collaboration avec les directions de santé de wilaya et les hôpitaux. La distribution est, certes, gratuite, mais des conditions seront fixées. Pour conclure, j’aimerai dire que le Snapo a agi dans un esprit de solidarité nationale et pour l’intérêt général». Des motivations qui ne semblent pas avoir convaincu l’Ordre des pharmaciens, qui estime qu’aucun cas d’urgence ne peut justifier une telle démarche.
Nawal Imès

Un syndicat qui jure par tout que son problème est la dignité du PHARMACIEN ,pense au pharmacien d'abord.Qu'il soit en ALGERIE ou ailleurs.
L'humanité dont font preuve les membres du syndicat est à remercier,et personne ne trouve à redire.
Seulement,l'état algérien est un état riche,donc a tous les moyens de faire face à tous les dangers (épidemies,guerres,innodations etc...) et surtout n'a rien demandé à personne.L'état a ses propres circuits de distributions et de contrôles ,l'état algerien sait ce qu'il fait,pourquoi,ces personnes du syndicat parlent-ils au nom de tous les pharmaciens.Que fait le SNAPO dans les sphères de l'administration ?.
Pourquoi voulez-vous réquisitionner des gens qui n'ont pas que cela à faire?Nous ne sommes pas en guerre que je saches?
Ce que vous demande votre syndiqué,est de trouver une solution pour les marges bénéficiaires,de balbutier un plan d'action pour créer une mutuelle des pharmaciens,créer des centres de remises en formes et pourquoi pas des formations continues par des profs étrangers,chercheurs dans leur domaines(nous en avons marre des mêmes personnes qui nous fourguent les mêmes fourbiers pendant des journées qui pour le moins qu'on puisse dire sont ennuyeuses).
Le syndiqué vous demande de "l'oxygène",des idées nouvelles,de libérer le marché du médicaments des mains de non professionnels.
Le syndiqué vous prie de lui restituer un tant soit peu du souffle,pour qu'il puisse mener le plus correctement possible ce pourquoi il est rémunéré.
Le bureau du SNAPO,doit penser à sa base avant de l'engager dans des mariages contre-nature avec l'administration!
L'esprit de TOTALITARISME est révolu avec le socialisme de jadis.Que chacun parle pour soi,bon sang!!!
Le SNAPO ne compte-t-il pas donner un coup de main à l'autoroute EST-OUEST?Ou peut-être faire le comptage des oiseaux en voie de disparition? Ou alors plus simplement créer une brigade de nettoyage des trains en partance pour ALGER?
Les DON QUICHOTTE de la SNAPA sont toujours là où on les attend le moins.
RESPECTUEUSEMENT.

les associations ou les syndicats parmi leur missions de defense morale et materielle en plus est un partenaire sociale qui participe en cas d'urgence et a la demande des pouvoirs publique de participer a des actions purements sanitaires car ce sont des interlocutaiers representatifs qui par l'intermadiare de leur instances peuvent cordonnés et organisés des actions sanitaires
donc il agissent dans un esprit de solidarité national et dans le service sanitaires a la population
il agissent aussi en cas d urgence dans l 'esprit de l'organisation sociale du pays
et puis il doit s'impliqué dans des situations de pandemies ou autre car ;ainsi les pour exemple les pharmaciens ne doivent^pas oublie qu il sont partie prenantes dans la santé publiques et d'eviter de confondre le coté commerciales avec le service publiques car

LA PROFESSION DE PHARMACIEN EST UNE ACTIVITE CERTE COMMERCIALE MAIS AUSSI REGLEMENTE

Vous venez d'exprimer la chose et son contraire,cher confrère,le syndicat s'implique quand on le lui demande mais tourner autour de l'administration juste pour qu'elle le lui demande...C'est du dépit amoureux.
Il n'y a pas le feu!
La route tue en un mois trois fois plus que le nombre de tristes décés par le H1N1 en une année.
L'urgence est à la vaccination et non pas au traitement,mon cher confrère,et le ministère a ses experts pour vous le confirmer.A moins que le SNAPO SOIT EXPERT DE LA CHOSE ?Là,je m'incline!!...
Pourquoi les autres syndicats de médecins,de chir.dent, ne sont ils pas impliqués? Peut-e^tre sont ils en grève?peut-être moins intelligents??Non je ne crois pas.Le SNAPO est ce qu'il y a de plus intellgent en ALGERIE??car il sent la catastrophe arriver à des années-lumière comme DON QUICHOTTE en quête d'héroisme il nous fout encore une fois le ministère dans les pattes pour contrôler si on a pas dispensé son machin.
On nous fait tout payer,le papier de la CNAS,les ordis,de gros impôts avec une marge dérisoire en ne nous reconnaissant rien d'utile,il ne reste à l'administration qu'a nous décréter commerçants informels;et notre valeureux syndicat va dans son sens pour montrer son utilité et à titre gracieux SVP.
Par ces temps de fêtes ,suivre la procession du SNAPO nous ménera directement à changer de métier
BONNES FETES et meilleurs voeux de bonheur, de santé,de sérénité
ALLAH YEHDINA..

Merci beaucoup monsieur l'administrateur pour votre sagesse , neutralité, savoir , rigueur intellectuelle et pour tout ce que vous faites.
Je lis avec beaucoup d'interet tous les posts ( la majorité sont trés instructifs) et j'en suis ravi.
Concernant, les positions du snapo et du conseil de l'ordre,je crois qu'elles ne sont pas dans l'interet de la pharmacie et des pharmaciens et que cette guéguerre n'a que trop nuit à l'image du pharmacien et de la pharmacie.
Je crois franchement que ces deux organismes sont gérés d'une manière privée et aléatoire ,ne répondant pas aux aspirations des pharmaciens, pire encore,elles ne sont que la copie conforme de tous les réflexes archaiques du système qui a plongé l'algérie dans la corruption,le clientèlisme et la médiocrité.
Depuis la création de ces deux organismes,on voit tout le temps, les memes tetes de part et d'autres avec alternance des roles.le trésorier devient sécretaire et le secretaire président et le président trésorier et le tour est joué pour faire croire à une démocratie de façade où toute voix différente est vite étouffée ou exclue ou accablée de tous les maux.
En réalité, ce dualisme entre le conseil de l'ordre et le syndicat n'est qu'une lutte de leadership entre certains clans qui veulent se positionné dans le serail du système politique espérant récolté les dividendes d'une manière ou d'une autre et c'est pourquoi ,on assiste à cet aplat-ventrisme de part et d'autre vis à vis du système et la course à qui embrasse le mieux et en premier la main du roi du moment en sacrifiant sur l'autel les interets des pharmaciens et de la pharmacie.Ces deux organismes agissent exactement de la meme manière que l'UGTA qui prétend défendre les travailleurs mais cautionnent toutes les décisions de l'administration.
Il est grand temps que les personnes intègres présentes dans ces deux organismes de dénoncer de part et d'autres ces pratiques de bas étages qui n'honorent ni le pharmacien ni la pharmacie.
Je tiens à remercier tous les membres intègres du snapo et du conseil de l'ordre qui essaient de faire de leur mieux.

Ce n'est nullement de la neutralité mais de la retenue et réserve,mon opinion personnelle a été déja posté antérieurement sur les rubriques"snapo" et"conseil de l'ordre" dans l ' article" le juste milieu" ,je voue beaucoup de respect à tous les pharmaciens qui ont donné de leur temps pour défendre les droits des pharmaciens et revaloriser la pharmacie ,que ce soit au snapo qu'au conseil de l'ordre.
Ceci dit, l'erreur est humaine,l'unanimisme n'est jamais porteur de vérité absolue et chacun est libre d'emettre un avis et ça n'engage que lui, pourvu qu'll soit objectif, sans excès et respectueux des valeurs et personnes.

Mr. l'administrateur,
J'ai l'honneur et le plaisir de pouvoir m'exprimer en toute liberté dans votre forum.Dieu merci nous nous comportons tous d'une manière correcte jusqu'à preuve du contraire.
Il y'a seulement des agissements (et non pas des avis) qui doivent être dénnocés,soit par la presse(le cas de soir d'algerie)soit par des gens qui sont jaloux de leur profession déjà malmenée à l'extrême.
J'essaie d'expliquer à mon confrère SEIMY que la solidarité nationale,c'est quand il y'a urgence et qu'il y réquisition :Là, personne ne peut s'y soustraire.
Qui mieux qu'un médecin peut prescrire et dispenser ce TAMIFLU dites-moi?Il le prescrit et le dispense car il en a le temps.
L'instruction n°38 stipule qu'il faut signer un engagement pour la dispensation gratuite.Gros signe de confiance au pharmacien,qui en est responsable? C'est moi ?
Pourquoi leur syndicat ne se trouve pas concerné pour le moment?
La vaccination d'abord ensuite les traitements.
Se trouver en train de rendre des comptes encore et encore à l'administration ne me plait pas du tout.Pour cette raison et pour plusieurs autres,j'ai quitté le "public" pour travailler dans MON officine
Etre inspecté par un non-connaisseur,se plier à ses volontés sous peine de fermeture,et toute la suite qui n'augure rien de bon pour le pharmacien et la pharmacie. Qui en est responsable?
Il demeure indiscutable comme l'a soulgné Mr ALI PHAR qu'il y'ait des gens de respectabilité certaine.Ces personnes sont élues pour travailler et essayer de régler les problèmes du confrère.Y a-t-il eu une solution pour l'inspection des pharmacies? On me parle d'être terrorisé; mais non ,je veux que les choses aillent bien c'est tout.Je m'attend à ce que mes problémes soient reglés d'abord par le SNAPO avant d'aller vers tout geste humanitaire ou autre(surtout quand il ne m'est rien demandé).
Je vous prie donc,Mr l'administrateur,de bien noter qu'il n'y a ni impulsivité,ni irrespect de la dignité d'autrui dans les propos de ce forum cependant les déceptions répétées nous font dire des verités difficiles à accepter pour beaucoup.
EN clair ,LE SNAPO ,à mon sens,a mieux à faire que de rentrer dans les affaires du ministère de la santé.
Que les gens qui se sentent touchés par mes propos,puissent trouver mes sincères regrets,Il ne me reste qu'a quitter ce syndicat en lui souhaitant plus de réussites.

Je crois qu'il faut s'expliquer avec la tête froide.Le problème sera réglé en créant une éspèce de VOLONTARIAT au sein du conseil de l'ordre,car cet ordre regroupe tous les pharmaciens et non pas une partie comme le SYNDICAT.
Les volontaires s'adressent à l'ordre qui les désignera sur liste ferme et définitive aux 4 DSP .
Un travail propre,et tout le monde sera content.
Si une personne n'est pas satisfaite du syndicat qu'elle le quitte.CONFRATERNELLEMENT.

mon chere myke c trés interressant et en meme temps tres rigolo de discuter avec toi c une jouissance qui n 'aura pas de fin
cepandant je te renvoie a google rubrique syndicat et attribution tu va bien apprendre les role les statu les attributions des syndicats ou des associations
ce que j ai posté en premier ce n est pas de ma propre tete mais sur des refernce universel mon ami

pour en revenir au sujet de la grippe a mon sens chaque mouvement est conserné et aussi libre de s'impliquer ou pas d'une facon ou d'une autre

pour les pharmaciens il faut savoir ce q uon veut soit on est commercants et on a rien foutre de cette solidarité national

soit on se considere comme une profession reglementé et appartennant aux corps medicale et dans ce cas on est partie prennante dans la santé publiques .

c'est pour ca que les mouvaments s impliquent dans l'esprit de l'organisation sociale du pays
bonne reception mon ami myke

La solidarité nationale OUI.Encore faut-il qu'elle vous soit demandée...
J'ai donc bien récéptionné votre message et j'ai encore plus rigolé .Seul le SNAPO connait les régles de cette solidarité car chez google à l'adresse où vous m'avez orienté le syndicat des docents,des spécialistes de la santé publique ,des généralstes ,des sages femmes,des infirmiers,etc...ne sont pas des syndicats car en suivant ce raisonnement il manque une pièce dans leur dossier d'agreément:L'ATTESTATION DE SOLIDAIRE NATIONAL(c'est pour cela qu'ils ne bougent pas encore).
Le problème n'est pas d'être commerçant ou pas,mais ces décisions qui sont prises en votre nom sans que vous soyez consultés présagent d'un sombre avenir quant à la gestion des problémes des pharmaciens dont je fais partie.
L'inquiètude est grande dans notre milieu.

La solidarité nationale OUI.Encore faut-il qu'elle vous soit demandée...
J'ai donc bien récéptionné votre message et j'ai encore plus rigolé .Seul le SNAPO connait les régles de cette solidarité car chez google à l'adresse où vous m'avez orienté le syndicat des docents,des spécialistes de la santé publique ,des généralstes ,des sages femmes,des infirmiers,etc...ne sont pas des syndicats car en suivant ce raisonnement il manque une pièce dans leur dossier d'agreément:L'ATTESTATION DE SOLIDAIRE NATIONAL(c'est pour cela qu'ils ne bougent pas encore).
Le problème n'est pas d'être commerçant ou pas,mais ces décisions qui sont prises en votre nom sans que vous soyez consultés présagent d'un sombre avenir quant à la gestion des problémes des pharmaciens dont je fais partie.
L'inquiètude est grande dans notre milieu.

Des remerciements particuliers à mes confrères dans cette rubrique de l'instruction ministèrielle.
En relisant vos écrits je suis conforté dans mes attitudes et celles du confrère qui a decidé de stopper son adhésion au syndicat.
J'ai crié dans le début des années 90 qu'une reflexion etait nécessaire pour éviter le statut de commerçant au PHARMACIEN car il est un homme de science avant et aprés tout ,que lui tourner la tête avec des faux problèmes de prix de ventes et de revient et des déclarations tout azimuts(bilans ,inventaires,G50, produits périmés et j'en passe...) finiraient par le détourner de sa vocation première qui est le scientifique,le chercheur,le pharmaco-vigilant et autre.
Puisses une minorité de pharmaciens encore lucides refléchir à cette proposition (à voix haute SVP).

MR MYKE 61 a du confondre les roles de different organisation
parcequ il a dit dans ces precedents message
le conseil de l 'ordre s implique ou donne son avi que si on le lui demande
ce n est pas le cas des syndicats
ils revendiquent
ils denoncent
ils proposent
ils cherchent les informations
ils s'impliquent
ils sont aussi des gardes fou
etc etc etc etc
ils sont partenaire sociale
mais mr myke il ne faut pas focaliser et paralyser les activités d un syndicat parce que y a un probleme
de marge ou de g 50 certes c la survie de l officine classe en priorité des problemes mais la vie ne s'arrete pas la
la question
pourquois les officines n ont pas ferme boutiques dans ce cas la ,,,,

je respecte tes point de vue que je ne partage pas totalement et c la richesse des echanges
cepandant un non syndicé pour une raison ou une autre peut s 'exprimé ou denoncé publiquement les derives dont ils juges par ces conviction a le dire car c son droit et aussi c la libre expresson individuelle